Certains détracteurs de l’actuel classe politique congolaise aux abois, s’évertuent à tromper la vigilance du peuple congolais qui demande au Prix Nobel de la paix 2018 de postuler à la présidentielle 2023 afin d’arrêter l’hémorragie qui continue d’ensanglanter l’histoire de notre pays.
Voici quelques atouts que regorgent cette structure sanitaire que plusieurs personnes ignorent :
1) L’hôpital de PANZI est l’unique jeune hôpital privé (1998), disposant d’équipements hospitaliers qui répondent aux standards modernes au service de la population, concurrent et dépassant des hôpitaux publics battus sur les fonds de L’était congolais et de la colonie belge dont la construction date des années 50.
2) L’hôpital de PANZI est l’unique hôpital privé sur l’étendue du territoire national dont les 4 services clés sont gérés par des personnes des différentes tribus et dont aucune n’est de la tribu du médecin directeur.
Faites un tour dans des institutions publiques comme la présidence à Kinshasa, dans certains ministères, dans des ambassades, dans des entreprises de l’Etat et demandez à ceux qui ont postulé récemment au concours de la magistrature puis revenez nous donner la définition du “ tribalisme ”.
Ci-dessous les représentants
des 4 services clés de l’hôpital de PANZI.
a) Médecine Interne : Dr BIHEHE MASEMO ; (FULIRU)
b) Service de chirurgie ; Dr NANGA BATENDE ; (LEGA)
c) Service de pédiatrie ; Dr KANKU ; (LUBA),
d) Service de gynécologie-obstetrique ; Dr Olivier NAKYO (MANYEMA)
3) Faut-il rappeler également que l’hôpital de PANZI et la Fondation PANZI du Dr Denis MUKWEGE sont parmi les rares institutions privées de grande envergure sur l’étendue du territoire national où des grèves salariales des employés n’ont jamais été observées?
Rappelons par ailleurs que le que plusieurs groupes de congolais du pays comme ceux de la diaspora , veulent voir le Dr Denis Mukwege se présenter comme candidat aux prochaines élections prévues pour décembre 2023 ; mais jusqu’à présent le prix Nobel de la paix 2018 ne s’est jamais prononcé quand à cette demande.
Benjamin Marhegeko